Appartement des années 90 aux détails bruts
Dans l’appartement de Mariska et Robbert, chaque coin est décoré avec amour. Des articles au look industriel brut y côtoient avec style plaids en lin et anciennes sculptures en bois. « Vous aurez du mal à trouver des couleurs vives ici. »
Sous le signe de la détente
C’est à Schiedam, dans la province de Hollande-Méridionale, que Mariska et Robbert ont élu domicile, dans un appartement éclairé par de grandes fenêtres. Mariska: « Nous nous sentons bien ici. Le logement n’est pas très grand, 70 mètres carrés environ, mais avec un agencement judicieux on peut faire beaucoup. Nous avons étudié chaque pièce en fonction de sa destination. Vu que nous ne sommes que deux à occuper les lieux, nous avons choisi par exemple de ne pas mettre de table à manger dans le séjour. La pièce est donc entièrement dédiée à la détente: elle accueille, entre autres, un confortable canapé lounge XL et une chaise suspendue. »
Base blanche
Pour créer un sentiment d’espace et de frais, Mariska et Robbert ont opté pour une base blanche. « Cela laisse la place à toutes les interprétations. Un peu comme une page blanche que vous remplissez petit à petit. Nous aimons tous les deux les meubles et les accessoires anciens, industriels et bruts. Des objets qui dégagent une émotion et qui donnent du caractère à un intérieur. Je suis aussi une grande fan du style bohème plus frivole, avec des coussins en laine et des plaids en lin, des cordages grossiers, d’authentiques sculptures indiennes sur bois, de vieux volets et portes… cosy, ancien et donc au charme fou! Mais tout en restant dans des tons naturels. Vous aurez d’ailleurs du mal à trouver des couleurs vives ici. » Et d’ajouter en riant: « Même notre chat Deejay, un magnifique bengal, est parfaitement assorti à notre intérieur! »
Peau de bête Modern Earth, plante de chez Green Lifestyle Store, chandelier en bois J-Line, suspension Clayre & Eef, bougeoir argenté Menu, coussin Walra (épuisé), bougeoir noir vtwonen, table de salon de chez vtwonen.nl.
Source: vtwonen 03-2018 | Photographie Peggy Janssen