Comment transformer un mur ordinaire en chef-d’œuvre
C’est incroyable comme on peut transformer en quelques gestes un mur ordinaire en un chef-d’œuvre classique avec une touche de modernité. Voici 7 idées pour un mur dont vous ne pourrez plus détacher votre regard.

Mélange de marbre
La vie de château ou de palace! Le papier peint imprimé marbré métamorphose n’importe quel mur simple en un imposant accroche-regard. Que ce soit sur toute la largeur de la pièce ou – tout à fait dans l’air du temps – avec un vaste panneau de plusieurs mètres carrés: les deux respirent le classique chic.
Jeu d’ombres magique
L’espace est synonyme de luxe. S’il vous en manque, faites simplement semblant?! Un papier peint avec une arche d’aspect classique et des ombres délicates donne l’illusion d’une ouverture. Collez-le simplement au mur et le tour est joué, votre pièce paraît


Splendeur murale
Autrefois expression du luxe absolu au plafond, convertie aujourd’hui… en œuvre d’art murale. La rosace fait des merveilles dans le cadre d’une nature morte. Joliment peinte de la couleur des autres articles, dans un mix d’antiquité et de contemporain, elle se pare d’une touche moderne et l’ensemble dégage un sentiment de sérénité.
Budget chic
Réalisation petit budget pour un effet chic. Avec quelques plinthes, une élégante bordure se dessine au mur en un rien de temps. Sciez les plinthes de biais afin qu’elles s’emboîtent parfaitement ensemble et peignez le mur et les boiseries dans le même ton. Cela maintient le tout en équilibre.
Surclassement de luxe
Quelques lattes, un pot de peinture et un peu de mastic. Il n’en faut pas plus pour une variante contemporaine du mur en panneaux classique. Sur les lattes, vous pouvez simplement déposer quelques cartes ou de petits éléments qui accrochent le regard. Avec le soleil, un jeu d’ombres subtil apparaîtra avec la différence de hauteur. Une fine bande de velours vient terminer le tableau et magnifier généreusement les rideaux.
Source: stylisme Marianne Luning | Photographie Stan Koolen | Assistance Niels Kist et Roos van Bruggen